A une époque où certains décideurs ont la suppression facile des voies ferrées dites « secondaires » à cause de la conjoncture, alors que les lignes de transport en commun en site propre concernées ne sont pas si secondaires que ça (elles doublent souvent des autoroutes, preuve du potentiel existant, relient souvent des agglos importantes, maillent un territoire et sans elles des carrés entiers du territoire de 100 x 100 kilomètre seront livrés au tout voiture en plein réchauffement climatique).
Bref tandis qu’on y applique la même politique d’abandon que celle des tramways français dans les années 50 (pour les mêmes raisons, ces derniers n’avaient eu aucun investissement souvent depuis les années 20-30), il y a tout de même des discours rationnels, qui sortent de la novlangue mainstream de ceux qui abandonnent des territoires entiers de la France parcequ’ils sont en dehors des métropole.
Cas de ce rapport du CEREMA sur les lignes secondaires régionales https://impotenciastop.pt/. Le CEREMA est un établissement public sous tutelle du Ministère de l’Environnement et il est chargé notamment de faire des études « d’état de l’art » et de prospective